Heute gibts mal etwas spaciges im Rahmen unserer Death Bell of the Day: Les Rockets. Was, Ihr kennt diese Band nicht? Tja, ist mal wieder etwas älteren Semesters, Les Rockets ist eine französische Spacerock-Band um den Schlagzeuger Alain Groetzinger, welche im Jahre 1972 in Paris gegründet wurde.
Als die Band erstmalig auftrat, taten sie dieses als fünf Ausserirdische mit grauen Augen, silbernen Köpfen und Weltraumanzügen, welches ihr Kennzeichen bis in die Gegenwart blieb. In ihren spektakulären Liveshows verwendeten die Herren einen Vocoder, um die menschliche Stimme zu verfremden, Laser und Farbspots, sowie Rauch, Explosionen und Bazooka-Kampfstrahlen und verwandeln so die Bühne in eine phantastisch anmutende Weltraumumgebung. Kein Wunder geniesst die Band in Italien, Frankreich, England, Niederlanden und Japan einen gewissen Kultstatus. Space Lords!
Und wie immer hier in der Gruft, gibts die Lyrics gleich dazu:
Apres que la folie des hommes
Eut libere des forces pour lesquelles
Ils n’avaient pas la connaissance
Et que la grande lueur mauvaise
Eut brule en un jour toute la surface de la terre
Et que toute forme de vie eut disparu
Et qu’il ne resta plus qu’un ocean de feu
Des magmas oublies surgirent des profondeurs du globe
Et se refroidirent en mer de vie
Lacs de saphirs et montagnes de poudreAlors seulement les fils de la connaissance
Virent que les derniers lambeaux de la malediction humaine
S’etaient enfin disperses aux confins de l’universEt deciderent que cette planete du systeme d’Oran
Etait enfin bonne pour recevoir la vie.Le premier jour, le vivants jamais fils de la connaissance
Descendirent sur la terre pour faire place nette
Et chasser le petits genies solitaires et malefiques
Qui s’installent souvent sur les planetes abandonees
Ils virent que l’eau de la vie manquait
Et se mirent dormir l jusqu’au soirLe deuxieme jour, ils peuplerent mers et oceans de vie
Quatre grandes medeuses intelligentes
Furent chargees de regner sur le monde marinOrionOccidentSeptentrionMeridion
Le trosieme jour, le vivants a jamais fils de la connaissance
Peulperent les surfaces emergees
De vegetaux pensants et autogeresLe cinquieme jour les fils de la connaissance
Peuplerent montagnes et vallees, plateaux et plaines
D’animaux sapient et benefiques
Qui se reproduisaient en phartenogenese
Ces animaux etaient autogerersLe sixieme jour le fils de la connaissance
Virent que la terre etait bonne
Et que l’experience valait la peine d’etre nouveau tentee
Ils creerent des etres leur image
Des humanodes la peau d’ac